Darracq, une histoire d’Amou(r)

Hôtel**
Le Commerce
Amou.

Vous souhaitez en savoir plus sur l’établissement, intimement lié à l’histoire d’Amou ?

Le livre Darracq, une histoire d’Amou(r) répondra à vos questions.

 

QUAND A VÉRITABLEMENT COMMENCÉ MON HISTOIRE ?

« Personne ne le sait vraiment. De mémoire de Darracq, nous sommes sûrs d’une chose : je ne me suis pas toujours appelé Darracq…
Ma bâtisse aurait environ deux siècles, mais mon histoire n’a pu être retracée qu’à partir du milieu du XIXe siècle, lorsque j’appartenais à la famille Ducamp, une dynastie de boulangers. […]. »

« Vers 1900 et même bien au-delà, les restaurants n’existaient pas dans les campagnes. Les auberges proposaient un ou deux plats du jour, généralement roboratifs, servis sur de grandes tables communes. Chez Marlus, véritable auberge de campagne, on servait un plat de saison, à toute heure du jour. La configuration des lieux était la même qu’aujourd’hui : le bar dans la première salle et la grande pièce pour se sustenter côté cheminée.  […]. »

« D’un clin d’oeil sur le menu, ces vacanciers font le tour de l’Aquitaine. S’y côtoient les jambons de Bayonne, les pibales de Peyrehorade, l’alose à la bordelaise, les palombes, cailles, faisans et lièvres dans tous leurs états, sans oublier l’incontournable canard et ses infinités de déclinaisons à la mode landaise.

« À l’époque, on mangeait ! », se souvient-on, un brin nostalgique. « Des menus interminables, à faire pâlir un Bocuse », ajoute malicieusement Bernard Lagière. […]. »

Le livre Darracq, une histoire d’Amou(r) est consultable et/ou en vente sur place.
En attendant, vous pouvez en télécharger un long extrait.